Harry SZPILMANN
Kevin Noël alias Harry Szpilmann est né à Liège (Belgique) en 1980. Adolescence passée en internat aux portes des Ardennes. Licences à l’Université Libre de Bruxelles, en philosophie et en arts du spectacle, avant de s’installer au Mexique, pour plusieurs années, à Querétaro, San Luis Potosi et à Guanajuato, officiant comme professeur de français, et s’initiant à l’écriture ainsi qu’à la photographie. De retour à Bruxelles, il travaille quelques années dans l’enseignement spécialisé. Avant de repartir à nouveau pour Mexico City, où il réside aujourd’hui. Récemment, il a également séjourné à Berlin, New York, et Istanbul. Comme l’écrit de ses éditeurs, Le Cormier (fondé en 1949 par Fernand Verhesen, un compagnon de route des HSE), « la poésie d’Harry Szpilmann n’a rien d’un simple jeu formel. Elle se maintient coûte que coûte sur le fil d’une interrogation inquiète, pointant les désastres approchés par l’image, par l’imaginaire, afin de ramener à soi la matière improbable qui insuffle au poème sa chair et son tracé. »
(Revue Les Hommes sans Epaules).
À lire : Sable d’aphasie (Le Taillis Pré, 2011), Prix Émile Polak 2012, Ces espaces à la base (Le Taillis Pré, 2014), Les rudérales (Le Cormier, 2015), Liminaire l’ombre (Le Taillis Pré, 2016), Petite suite désertique (Le Coudrier, 2017), Du vide réticulaire (Le Cormier, 2017), À la façon de la phalène (Le Cormier, 2018).
Publié(e) dans la revue Les Hommes sans épaules
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Dossier : Bernard HREGLICH, un réalisme incandescent n° 46 |